Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.

"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)


lundi 12 mars 2018

Benvolio


C'est Bruce Robinson qui incarnait Benvolio dans le Roméo et Juliette de Franco Zeffirelli en 1968. Le film est très classique, voire académique, ampoulé même ; mais il est peuplé d'une armée d'anges absolument charmants dont, également, Leonard Whiting (Roméo) et Michael York en Tybalt. Le maestro a dû se munir d'un éventail pendant le tournage...


2 commentaires:

picotludique a dit…

Je l'ai encore vu récemment (le jour de la Saint-Valentin!) et moi aussi j'ai dû faire tourner le ventilateur. Plus que Roméo si possible, c'est Benvolio qui faisait monter le mercure.

Pour ce qui est du style ampoulé du film, je cite une critique attrapée sur Internet:

« Certains ont reproché à l’opulence de l'image de submerger le texte, ce qui est vraiment se plaindre que la mariée est trop belle… » (Bernard Génin)

Anonyme a dit…

A propos de Michael York, outre les films connus, « Something for Everyone » de Harold Prince, est une curiosité à découvrir, où il endosse le rôle d’un jeune homme arriviste et troublant toute une famille. Une sorte de « Théorème » bavarois avant la lettre. A voir pour York dans sa belle jeunesse…
Pierre